L’acheteur typique de l’Outback n’a jamais pris en considération l’achat d’un RAV4 ou d’un CR-V dans l’analyse de ses besoins menant à la décision de son prochain véhicule. Ce n’est que dans cette perspective que le chroniqueur automobile puisse arriver à faire une juste analyse et composer un texte qui se tienne sur ce véhicule unique et souvent imité. Donc pour le commun des mortels et les fans de VUS soyez avertis, cette chronique risque de vous ennuyer au plus haut point ou au contraire vous sortir de votre zone de confort. Allez, un peu de curiosité!
Toyota a la réputation de construire des voitures robustes, d’une fiabilité légendaire et d’un ennui total au chapitre du style, du moins à venir jusqu’à deux ou trois ans selon les modèles. La berline intermédiaire du groupe a décidément troqué son design sobre pour adopter un style diamétralement à l’opposé de ses traditions. Toyota a décidé d’ajouter une corde à l’arc de la Camry en la dotant d’une traction intégrale et ainsi offrir à sa clientèle une voiture capable d’affronter nos hivers avec aplomb.
L’actuel WRX tire à sa fin et une toute nouvelle WRX devrait faire son apparition l’an prochain. Afin de vraiment fermer la boucle au sujet de cette génération, j’ai testé cette toute dernière cuvée en version Sport-Tech RS qui se situe tout au bout de la gamme avec un prix de détails tout juste sous les 40 000$. Sachant qu’il est possible d’obtenir une STi de base pour environ la même somme, j’étais curieux de constater ce que cette WRX RS avait à m’offrir lors cette semaine d’essai.
